Ouragan Irène [ Etats-Unis ] Répondre
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Bonjour.
Ce n'est pas une actus PL, mais elle mérite d'être publié sur le forum et mérite également d'être suivi :
CLIMAT - Les évacuations se poursuivent, alors que l'armée et les secours se tiennent prêts...
L'Amérique se prépare au pire afin d'éviter un nouveau Katrina. Le littoral atlantique des Etats-Unis a commencé vendredi soir à ressentir les premiers effets de l'ouragan Irene, dont l'arrivée a conduit les autorités à mettre en place des mesures d'urgence avec notamment des ordres d'évacuation sans précédent à New York.
La pluie et des vents violents identiques à ceux générés par une tempête tropicale ont commencé à balayer avec de plus en plus de vigueur les côtes de Caroline du Nord, où Irene, classé en catégorie 2 sur une échelle de 5, devrait s'abattre samedi matin. «La nuit difficile, c'est cette nuit. On attend simplement qu'il arrive», a déclaré le gouverneur de Caroline du Nord, Bev Perdue, sur CNN.
Des Etats de Caroline jusqu'au Maine en passant par Washington, les autorités locales ont décrété l'état d'urgence à l'approche de cet ouragan d'environ 900 km de diamètre susceptible d'affecter 55 millions d'Américains. Barack Obama a déclaré que les conséquences de l'ouragan, inhabituellement large, pourraient être «extrêmement dangereuses et coûteuses». «Tout donne à penser qu'il s'agira d'un ouragan historique», a dit le président américain à ses compatriotes, qui se souviennent du passage dévastateur de Katrina sur La Nouvelle-Orléans en 2005.
250.000 New-Yorkais évacués
Vendredi soir, en Caroline du Nord, des arbres ont été arrachés, des zones ont été inondées et l'électricité a été coupée pour 7.600 habitants de la ville de Wilmington en raison des premières intempéries dues à l'ouragan.
«L'oeil de l'ouragan va s'approcher de la côte de Caroline du Nord ce soir et passera près de ou sur la côte de Caroline du Nord samedi matin», a annoncé le Centre national des ouragans (NHC) dans un bulletin émis vendredi soir.
A 03h00 GMT, l'oeil d'Irene se trouvait à 225 km au sud du cap Lookout, en Caroline du Nord, et il progressait vers le nord-nord-est à 20 km/h. Plusieurs centaines de milliers d'habitants et de touristes ont entrepris de s'éloigner de la trajectoire probable de la dépression. A New York, 250.000 habitants ont reçu l'ordre d'évacuer leur domicile dans les zones basses de Manhattan, de Brooklyn et du Queens, les autorités craignant des inondations à partir de dimanche dans la ville mais aussi à Long Island, plus à l'Est.
Certains hôpitaux new-yorkais situés dans des zones inondables ont commencé à évacuer leurs patients et l'imposant réseau de transports en commun de la ville, qu'empruntent 8,5 millions d'usagers chaque jour en semaine, va progressivement cesser de fonctionner à partir de samedi midi «Nous n'avions jamais procédé jusqu'à présent à une évacuation forcée et nous ne le ferions pas aujourd'hui si nous ne pensions pas que cette tempête était susceptible d'être très dangereuse», a dit le maire de New York, Michael Bloomberg.
L'armée prête à intervenir
Les compagnies aériennes américaines ont pour leur part annulé environ 7.000 vols et déplacé leurs appareils en dehors de la trajectoire probable de l'ouragan. Plus aucun avion ne pourra atterrir sur les trois principaux aéroports de la région de New York (JFK, LaGuardia, Newark) à partir de samedi midi (18h00 en France).
Leon Panetta, le secrétaire à la Défense, a annoncé que l'armée était prête à venir en aide, si nécessaire, et que plus de 100.000 membres de la Garde nationale pourraient être mis à la disposition des Etats touchés. Les habitants restés près de la côte atlantique ont constitué des réserves d'eau et de nourriture et tenté de protéger leurs maisons et leurs biens.
Au niveau fédéral ou des Etats, les autorités ont exhorté la population à respecter les éventuels ordres d'évacuation, six ans après le passage dévastateur de Katrina, qui avait causé la mort de 1.800 personnes et des dégâts estimés à 80 milliards de dollars.
Irene s'est affaibli vendredi, passant de catégorie 3 à 2, mais il est toujours accompagné de vents soufflant à plus de 150 km/h. Il devrait rester un ouragan en balayant la côte Est au cours du week-end mais il pourrait se transformer en tempête tropicale avant d'atteindre les Etats de la Nouvelle-Angleterre, a annoncé le Centre national des ouragans, selon lequel un tel affaiblissement n'aura toutefois pas de grandes conséquences pour les populations.
Les inondations provoquées par Irene ont fait au moins un mort à Porto Rico et deux en République dominicaine
Source : 20minutes.fr
Si vous avez des informations, photos, ou de bons sujets, n'hésitez pas à enrichir ce sujet svp
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Les autorités américaines ont sonné la mobilisation générale sur la côte Est à quelques heures de l'arrivée de l'ouragan "monstre" Irène, avec notamment l'évacuation inédite de 250.000 New-Yorkais vivant le long du littoral.
Le président Barack Obama, qui a sommé les Américains de "prendre cette tempête" dont les proportions pourraient être "historiques" au "sérieux", a écourté ses vacances dans le Massachusetts (nord-est) pour regagner Washington vendredi soir, peu avant minuit.
"Je ne le dirai jamais assez: si vous vous trouvez sur la trajectoire prévue de l'ouragan, vous devez prendre des précautions dès maintenant", a-il conseillé dans une allocution vendredi matin.
Les aéroports de New York seront fermés samedi à partir de midi (16h00 GMT) pour tous les vols à l'arrivée, ont prévenu les autorités aéroportuaires.
Le Centre national des ouragans américain (NHC) a fait savoir dans son dernier bulletin que "l'ouragan devrait évoluer près ou directement au-dessus de la côte Atlantique (des Etats-Unis) samedi soir".
A 17H00 locales (21H00 GMT) vendredi, l'oeil du cyclone se trouvait à 425 km du cap Hatteras (Caroline du Nord) et progressait à 22 kmh vers le nord, selon les experts du NHC.
Des premières pluies se sont abattues vendredi soir sur Cap Hatteras où le ciel était tapissé d'un épais plafond de nuages gris, a constaté l'AFP.
Irène a été classée en catégorie 2 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte cinq: ses vents ont quelque peu faibli ces dernières heures pour atteindre un maximum de 160 kmh.
Irène "devrait un peu s'affaiblir après avoir touché la côte mais devrait rester un ouragan tout au long de son parcours le long de la côte atlantique dimanche", prévoit le NHC.
La dépression devrait frapper la côte Est samedi matin, avant de remonter dimanche en direction de New York.
Véritable "monstre", Irène a un diamètre de 820 km environ, soit l'équivalent de près d'un tiers de la longueur totale de la côte Est américaine (2.675 km), selon une estimation de la Nasa faite à partir de satellites.
Irène présente des conditions cycloniques sur un rayon de 150 km et des vents puissants sur 465 km, note le NHC.
Les autorités des Etats depuis la Caroline du Nord jusqu'au Massachussetts ont décrété l'état d'urgence ou des alertes ouragan, et des dizaines de milliers de personnes ont reçu l'ordre de s'éloigner des côtes.
"Les habitants sont en train d'évacuer sur toute la côte, des abris sont ouverts. La police et les secours sont sur place. Nous sommes prêts pour la tempête', a déclaré vendredi le gouverneur de Caroline du Nord, Bev Perdue, sur CNN.
Kill Devil Hills, un lieu de villégiature sur la trajectoire directe d'Irène, ressemblait à une ville-fantôme vendredi, selon un photographe de l'AFP. La plupart des habitants et des vacanciers ont commencé à évacuer la zone vers l'intérieur des terres.
Plus au nord, à New York, le maire qui en fait une "question de vie ou de mort", a ordonné l'évacuation obligatoire de 250.000 New Yorkais vivant dans des secteurs côtiers exposés.
C'est la première fois qu'une telle mesure est imposée aux New-Yorkais, a-t-il précisé lors d'une conférence de presse.
Les transports publics seront également suspendus à compter de samedi midi et par mesure de précaution, M. Bloomberg a conseillé aux habitants de stocker des produits de première nécessité. "Si vous avez une voiture et que vous vivez dans une zone inondable, garez-vous sur une colline", a-t-il ajouté.
Le nord-est des Etats-Unis échappe habituellement à ces dépressions. Gloria, en 1985, est le dernier ouragan à avoir touché New York.
L'armée a fait savoir que 98.000 membres de la Garde nationale étaient mobilisables. Des avions de l'US airforce ont quitté des bases situées en Floride, au Delaware et en Virginie pour être mis à l'abris. La Marine a envoyé en mer, où ils sont moins vulnérables, tous ses navires amarrés dans le port de Hampton Roads (Virginie).
Les experts ont déjà fait les comptes. Kinetic Analysis, un cabinet qui développe des modèles informatiques sur les éventuels dégâts provoqués par les intempéries, prévoit dans une nouvelle estimation que le montant des dommages se situera entre 5 et 10 milliards de dollars.
"Cela pourrait prendre des semaines, peut-être des mois pour réparer les dégâts", a prévenu la ministre de la Sécurité intérieure Janet Napolitano.
Source : tempsreel.nouvelobs.com
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Après le tremblement de terre qui a frappé la côte est des Etats-Unis, mardi 23 août, c'est au tour de l'ouragan Irene de venir perturber le quotidien de millions d'Américains. Irene est attendu samedi matin sur les côtes de la Caroline du Nord et doit remonter dimanche sur New York, selon le Centre national des ouragans américain (NHC). Par anticipation, les gouverneurs de Caroline du Nord, de Virginie, du Maryland, du Delaware, du New Jersey, de New York et du Connecticut ont décrété l'état d'urgence, tandis que Barack Obama a appelé la population américaine, vendredi, à prendre "très au sérieux" cet ouragan qui a déjà fait cinq morts dans les Caraïbes.
Preuve de l'inquiétude des autorités, la ville de New York a pris la décision historique d'une évacuation obligatoire de plusieurs quartiers vulnérables de la ville et de fermer tous les transports publics dès samedi midi. Les quartiers concernés sont les parties côtières de Brooklyn, du Queens et de Staten Island, ainsi que Battery Park City et le district financier au sud de Manhattan. Près de 250 000 personnes sont concernées.
Les autorités ont déjà procédé à de nombreuses évacuations. La population, elle, fait preuve de fatalisme. Jointe par téléphone alors qu'elle était sur un ferry quittant Bald Head Island, dans le sud de la Caroline du Nord, Sarah Newman a "le sentiment que tout va bien se passer". "Les évacuations n'étaient que volontaires à l'endroit où j'habite et certaines personnes ont fait le choix de rester sur l'île, explique-t-elle au Monde.fr. J'ai choisi de partir car il n'y aura plus d'électricité et d'eau à partir de demain, donc je préférais aller quelque part où je n'aurais pas ces problèmes et où je pourrais être en sécurité sans avoir à me soucier de quoi que ce soit."
Comme pour chaque trajet effectué depuis ce matin, au rythme d'un ferry toutes les trente minutes, son bateau est plein, avec 150 personnes à bord. L'ambiance est plutôt calme. "Je vis dans le sud de la Caroline du Nord donc on ne devrait pas être si touché que ça, mais on ne sais jamais. Ma maison est au milieu des arbres, il pourrait y en avoir un qui tombe dessus", raconte Sarah, pas vraiment inquiète.
Thomas Storrs, lui, a beau habiter à l'endroit exact où doit passer l'ouragan Irene, sur l'île d'Ocracoke, en Caroline du Nord, il n'a pas voulu prendre le dernier ferry. Thomas est le propriétaire du Island Inn, un petit hôtel sur deux étages construit en 1901. Et puisqu'aucun pont ne relie Ocracoke au continent, le voici donc coincé sur son île à attendre l'arrivée d'Irene. "Les autorités ont obligé les touristes à quitter l'île donc l'hôtel est vide. Pour les habitants, c'était recommandé mais nous avions le choix. Je pense qu'entre 100 et 200 personnes sont toujours ici alors que nous sommes normalement 800 à vivre sur l'île", explique-t-il.
Sa femme et sa fille sont parties il y a deux jours mais lui voulait rester à tout prix. Non pas par crainte de voir son hôtel inondé, même s'il estime que "les parties les plus basses" vont "probablement" l'être et qu'"il aurait sûrement fallu" attendre "une semaine avant de pouvoir revenir". Non, Thomas a simplement hâte de vivre le passage d'un ouragan. "Ça devient un peu ennuyeux de l'attendre, mais je pense que ça va devenir excitant demain [samedi]. Ce n'est pas quelque chose que vous faites tous les jours ! On a eu un été très chargé donc là, ça va nous sortir un peu de la routine. Maintenant que la saison estivale est terminée, on va pouvoir faire la fête", conclut-il en rigolant.
"C'EST LA FIN DU MONDE QUI S'ANNONCE"
Plus au nord, en Virginie, des mesures ont également été prises. Devan Grayson est étudiante à l'université William & Mary de Williamsburg, tout près des côtes. Alors que les cours ont repris mercredi, tous les étudiants ont dû quitter le campus deux jours plus tard. "La fac a demandé à tous les étudiants de quitter le campus avant vendredi midi, explique-t-elle. Nous n'avons pas eu le choix, personne n'a eu le droit de rester sur place. Tous les cours et toutes les activités sont annulés jusqu'à lundi, 17 heures." Devan a donc pris la route jeudi soir, direction Orange, sa ville d'origine, où elle va rester chez elle avec trois de ses amis. "Orange se trouve dans les terres, à 200 kilomètres environ de la fac. Donc je ne suis pas vraiment inquiète. Je m'attends juste à de la pluie et du vent. Ce ne sera rien de comparable avec Williamsburg", se rassure-t-elle.
La dernière évacuation de l'université William & Mary pour cause d'ouragan remonte à 2003. A l'époque, celui-ci s'appelait Isabel et les étudiants s'amusaient à dire à leurs proches qu'ils étaient en hurrications (contraction des mots anglais hurricane, pour ouragan, et vacations, pour vacances). "Les responsables de William & Mary ont voulu prendre toutes les précautions car ils pensent qu'Irene fera davantage de dégâts que tous les autres ouragans que nous avons eus ces dernières années, souligne Devan. Ils ont prévenu les étudiants qui vivent en sous-sol qu'il pourrait y avoir des inondations et leur ont suggéré de mettre en hauteur leurs effets personnels. Mais comme ma chambre est au deuxième étage, ça devrait aller pour moi."
Même sentiment chez Anna Palladino, qui habite à Alexandria, juste en dehors de Washington. Plutôt que de s'inquiéter, Anna préfère prendre cet affolement avec humour. "Entre l'ouragan et le tremblement de terre, j'ai l'impression que c'est la fin du monde qui s'annonce", plaisante-t-elle. La région de Washington a en effet été frappée, mardi après-midi, par un séisme de magnitude 5,9. Le bâtiment dans lequel vit Anna est vieux de plus de deux cents ans. C'est ici que la première boulangerie de la ville avait ouvert ses portes, aime rappeler la propriétaire de son appartement. "Le tremblement de terre a endommagé notre cheminée et les ingénieurs de la ville pensent qu'elle a de bonnes chances de tomber lors du passage de l'ouragan si jamais les vents sont puissants, dit Anna. Mais j'ai été impressionnée par la vitesse avec laquelle la ville d'Alexandria a pris les choses en main. Très rapidement, des barrières et des panneaux de prévention ont été installés tout autour de la porte d'entrée pour éviter que quelqu'un ne se blesse."
A New York, les autorités sont aussi dans l'attente des intempéries, mais tout le monde ne semble pas concerné. "Dans mon quartier, les gens continuent de vivre normalement et ne prêtent pas vraiment attention à ce que disent les médias, note Benjamin Risacher, un Français vivant à Brooklyn. Je discutais avec un chauffeur de taxi hier [jeudi], et il m'a dit qu'il n'y croyait pas, qu'il allait continuer de travailler comme si de rien n'était !" New York ne devrait être touchée que dimanche et, d'ici là, l'ouragan aura été rétrogradé au rang de tempête tropicale, selon le NHC. Les autorités ont pourtant décidé de l'arrêt du métro à partir de samedi midi et ordonné l'évacuation des zones côtières, mais Benjamin ne ressent aucune panique chez les habitants. "Les New Yorkais ont déjà connu un tremblement de terre cette semaine, alors ils se disent que tout va bien. Je pense qu'ils attendent demain [samedi] pour voir comment ça se passe et prendre la mesure de l'événement", analyse-t-il.
Source : lemonde.fr
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New York s’en est sortie, a déclaré soulagé le responsable des services de secours de la ville, Joseph Bruno, hier sur CNN, avant de faire état d’inondations et de nombreuses chutes d’arbres. « Certaines parties de la ville sont inondées, il y a de la pluie, mais globalement, je pense que nous nous en sommes sortis », a-t-il ajouté, mentionnant toutefois les « milliers d’arbres à terre ou endommagés, de nombreux débris, et des inondations ».
Plus de deux millions de personnes ont été privées d’électricité. Mais en milieu de matinée, la pluie avait faibli, la circulation reprenait progressivement, et certains New-Yorkais se promenaient en famille, dans une ville toujours privée de transports en commun.
New York s’était préparée au pire : dans une mesure sans précédent, son maire Michael Bloomberg avait ordonné vendredi l’évacuation obligatoire de 370 000 New-yorkais vivant dans des zones inondables. Samedi, tous les transports en commun ont été suspendus ; ils devraient le rester ce lundi, promettant une joyeuse pagaille. Les aéroports sont également toujours fermés et des milliers de vols ont été annulés.
Hier à Manhattan, la vie semblait avoir repris son cours, même si les joggeurs du dimanche slalomaient entre les grosses branches tombées sur les bords de l’Hudson River. De nombreux touristes étaient cependant surpris de voir les restaurants et autres magasins clos près de Times Square.
Au sud de l’île, à Battery Park, comme sur le reste des plages, les vagues de l’océan ont atteint trois mètres de haut, envahissant la jetée. Mais ce n’était rien comparé aux rues de Long Beach, située, à l’est de New York recouvertes de boue.
Beaucoup de personnes parties se réfugier chez de la famille, des amis ou dans les abris mis en place par la mairie, essayaient de regagner leurs maisons.
Hier soir, Irène, rétrogradée en tempête tropicale, continuait à progresser vers le Nord-Est en direction de Boston. Au total, l’ouragan a fait au moins quinze morts, dont six en Caroline du Nord, et entraîné l’évacuation de près de deux millions de personnes vivant près des côtes. Le coût d’Irène pourrait atteindre des dizaines de milliards de dollars selon le gouverneur du New Jersey, Chris Christie.
Source : leprogres.fr
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